Couleurs d'hiver #2

Concert des élèves, enfants et adultes, en ensembles, orchestres et chœurs.

Mercredi 3 décembre 2014
l'orchestre d'harmonie en répétition

18 h 30

Orchestres à cordes Cycle 1, A et B
Orchestre à cordes Cycle 2
Orchestre d'harmonie

20 h 00

Ensemble de guitares
Ensemble de flûtes
Orchestre adultes
Choeur mixte

Vendredi, 26 Septembre, 2014 - 10:39
Jeudi, 4 Décembre, 2014 - 09:23
Maison des arts
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Couleurs d'hiver #1

Soirée musicale proposée par l'Ensemble instrumental des enseignants de la Maison des Arts.

Dimanche 30 novembre 2014
L'ensemble instrumental en répétition

Au programme :
Concerto pour violon et orchestre  de J Sébastien Bach,
Sérénade pour cordes d'Edward Elgar,
Suite pour cordes "Psycho" de Bernard Herrmann.

Violons : Gilles Bouras, Anne Manach, Mathilde Jankowski, Régis Touray, Camille Aubret
Altos : Florence Oster-Mercier, Isabelle Lucas
Violoncelles : Luc Saint Loubert Bié, Camille Cantin
Contrebasse : Patrick Liman
Clavecin : Florence Maillet
Harpe : Aïda Aragoneses
Direction Stéphane Oster.

En première partie le chœur d'hommes "Tenore i bassi" et l'atelier Polyphonies Un par voix, accompagnés à la harpe, présenteront des lieder de Schumann (Nanie, Triolett et Lied) et des extraits de "A ceremony of carols" de Benjamin Britten.
Direction Isabelle Blin.

Vendredi, 26 Septembre, 2014 - 09:40
Lundi, 1 Décembre, 2014 - 11:21
Maison des arts
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La place des auteurs femmes dans la bande dessinée

Dessins de femmes.

Mercredi 21 janvier 2015

Bien que de plus en plus présentes dans le monde de la bande dessinée depuis le début des années 2000, les femmes auteurs y trouvent-elles réellement leur place ? Arrivent-elles désormais à s’imposer au sein d’un milieu androcentrique par son histoire ? Qu’il s’agisse notamment de prendre leur démarche au sérieux ou de rendre visibles leurs productions.
Nombre d’indicateurs nous poussent à croire que leur « statut » progresse. À moins que ce ne soit un leurre ? De telle sorte que l’impact public et médiatique du travail de Claire Bretécher ou Marjane Satrapi fasse encore figure d’exception.
 

Jeudi, 25 Septembre, 2014 - 17:59
Jeudi, 22 Janvier, 2015 - 17:56
Maison des arts
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D'écrire les lieux

Jean Clareboudt, Jean-Michel Sanejouand, Jean Fléaca, Hamish Fulton, Régis Perray, Laurent Tixador et Abraham Poincheval.

Mercredi 7 janvier 2015
Une oeuvre de JM Sanejouand

Pour l'artiste, le geste  - qu'il s'agisse d'arpentage, de dessin ou d'écriture – acquiert parfois une dimension d'inscription du monde et dans le monde : paysage, trace ou témoignage d'une présence, archive ou croquis, l'oeuvre devient alors le résultat ou le moyen de prendre pied.

Cette conférence sera consacrée à l'exposition organisée dans la Galerie, en partenariat avec le FRAC Pays de la Loire, du 8 au 20 janvier 2015.

Jeudi, 25 Septembre, 2014 - 17:53
Jeudi, 8 Janvier, 2015 - 09:51
Maison des arts
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L'art de la direction

Le chef d'orchestre : un personnage qui fascine.

Mercredi 16 décembre 2014
Photo de mains et baguette d'un chef d'orchestre

 Mais quel est son rôle, quelles sont ses compétences musicales, à quel époque est-il apparu ?… Un voyage du Moyen-âge à nos jours qui nous amène parallèlement à nous interroger sur la question de l'interprétation.
 

Jeudi, 25 Septembre, 2014 - 17:49
Jeudi, 18 Décembre, 2014 - 15:01
Maison des arts
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Jackson Pollock, peinture action !

Une exploration dans le monde de Jackson Pollock et de sa peinture explosive, bouillonnante et brouillonne.

Reporté au Mercredi 10 décembre 2014
l'artiste dans son atelier

Passionné par l'art des Amérindiens et influencé par des artistes tels que Max Ernst, Jackson Pollock devient dans les années 50 le chantre de la peinture moderne américaine qui ne tardera pas à dominer le monde. Sa peinture est explosive, bouillonnante, brouillonne : qu'il verse la peinture du pot sur la toile clouée au sol ou qu'il la jette sur la surface au moyen du pinceau, qu'il la frotte ou qu'il l'étale, Pollock entend l'acte pictural comme physique, comme un geste qui exprime son être le plus profond, une écriture dont le sens se situe au-delà du langage.

Jeudi, 25 Septembre, 2014 - 17:45
Lundi, 12 Janvier, 2015 - 10:26
Maison des arts
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Écrire le geste, Rudolf von Laban et la labanotation
Mercredi 19 novembre 2014

La question du geste, de sa notion et de ce qu'il exprime est au centre de la démarche de nombreux pédagogues et chorégraphes au tournant du 20e siècle. Convaincu du lien étroit entre l'âme, le corps et ses mouvements, et dans l'espoir d'établir une méthode afin que l'humain parvienne à une pleine expression de lui-même, Rudolf von Laban, chorégraphe et enseignant allemand, met au point une méthode de notation et d'apprentissage du mouvement au destin passionnant, puisqu'elle participera tant au développement de la danse moderne, de la gymnastique que du fordisme.

Jeudi, 25 Septembre, 2014 - 17:22
Jeudi, 20 Novembre, 2014 - 14:34
Maison des arts
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Le langage des passions dans la peinture classique
Mercredi 5 novembre 2014

Au tournant du 18e siècle, influencée par le théâtre, l'opéra et la musique et sous l'impulsion d'intellectuels tels que Diderot, la peinture opère une révolution qui n'est pas sans conséquence sur le temps présent : elle devient scène de théâtre, tandis que les personnages qu'elle représente se muent en acteurs, dont chaque expression, chaque mouvement transcrivent un sentiment, un secret désir ou une crainte qui émeut le spectateur. Au travers d'œuvres de Chardin, Greuze, Le Brun, nous verrons comment la peinture a changé d'objet, de l'action à laquelle on assiste, à la psychologie que l'on interprète, comment le corps est devenu le support à l'expression – et à la lecture - des sentiments.

Jeudi, 25 Septembre, 2014 - 17:10
Lundi, 10 Novembre, 2014 - 17:20
Maison des arts
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Palissade

Une installation et une carte monumentale et animée de Bellevue, tirées des pérégrinations des deux artistes sérigraphes.

du 16 octobre au 26 novembre 2014
Carte de Bellevue sérigraphié par les artistes

Que se cache-t-il entre les lignes d'une carte ? Comment y faire figurer des souvenirs, des rencontres, des surprises ? Comment réaliser une carte animée, une carte qui communique l'émotion d'une découverte ? Qui n'a pas un jour posé l'œil sur une mappemonde, sur un globe terrestre, cherchant à « voir » ce qui se cachait sous les traits, les frontières, à entrevoir entre les lignes de la carte ce qui s'y cache, qui n'a pas zoomé dans Google Maps en espérant surprendre un événement ? « La carte n'est pas le territoire », expliquait le logicien et linguiste Alfred Abdank Skarbeck Korzybski, en un aphorisme qui inspira nombre d'auteurs : tout comme le mot ne suffit pas à épuiser l'objet qu'il désigne, tout comme nous ne nous résumons jamais à notre nom, la carte n'est rien d'autre qu'une réduction, une abstraction graphique dans laquelle nous reconnaissons, par le biais de conventions apprises, les lieux que nous connaissons.

Que se cache-t-il derrière les palissades des chantiers, les façades des immeubles, derrière la routine ? L'aventure se trouve-t-elle au coin de la rue ? A la cartographie, on pourrait opposer l'arpentage du territoire, qui substitue à  la vue surplombante, abstraite, totalisante, une expérience à l'horizontale, à l'échelle du champ de vision ; et au-delà de l'arpentage pourrait se situer la flânerie, cette promenade au hasard de la ville, tous sens en éveil, l'imagination chevillée au corps. Si l'on se promène avec suffisamment d'inattention active, alors probablement verra-ton des choses apparaitre, des pousses d'herbe entre les fissures du béton, des tâches sur les murs qui évoquent des moutons, des engins étranges, des scènes extraordinaires. Ainsi, tout comme le territoire se cache dans la trame de la carte, l'inattendu, l'étrangeté familière se terrent dans les recoins de notre habitude, prêts à surgir à la première occasion.

C'est à cet exercice que se sont prêtés Jérôme Maillet et Gérald Fleury à Saint-Herblain.  Sérigraphes, graphistes, venant de l'univers du graffiti, ils travaillent sans cesse entre leurs ateliers et l'espace public, où ils interviennent au gré de leurs voyages, de leurs projets ou de leur inspiration.

A la Maison des Arts cependant, les deux artistes ont préféré tenter de ramener le tissu urbain dans la galerie : tout au long de l'été, ainsi qu'avec deux classes de la Maison des Arts, ils ont arpenté le quartier, à la recherche de ces objets, de ces scènes qui se cachent sous nos yeux. Les résultats de ces pérégrinations, ils les ont reportés sous la forme d'une animation, projetée dans le vide laissé au centre d'une carte monumentale de Bellevue, réalisé au moyen de la sérigraphie. A droite et à gauche, l'envers et l'endroit d'une palissade : les artistes, par leur geste, par leurs dessins, nous invitent à passer de l'autre côté d'un miroir, celui de la ville que nous croyons connaître mais qui nous réserve toujours des surprises.

 

Architecte de formation, Jérome Maillet est par la suite devenu sérigraphe et graveur, disciplines qu'il met en œuvre dans le cadre de projets, de résidences et d'exposition aux quatre coins du monde.

Gérald Fleury est illustateur et sérigraphe, co-fondateur et membre depuis 2010 de l'association nantaise Pan !, ainsi qu'animateur plasticien au sein de l'Institut de la Persagotière, à Nantes.  

Jeudi, 25 Septembre, 2014 - 15:30
Mardi, 8 Décembre, 2015 - 11:26
Maison des arts
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Les lignes d'erre de Fernand Deligny

Conférence-discussion animée par Julien Zerbone, historien d'art.

Mercredi 15 octobre 2014
Dessin en noir et blanc avec lignes et traits

Contre « l’encastrement » institutionnel dont sont victimes selon lui les enfants autistes, Fernand Deligny, éducateur et poète,, les  accueille à partir de 1968 dans les Cévennes, dans un lieu de vie et des espaces au sein desquels ils peuvent librement circuler. Ces enfants, selon lui, sont simplement « mutistes », dans la mesure où ils refusent notre langage. Afin d'entrer en communication avec eux, les éducateurs le suivent dans leur pérégrinations et reportent consciencieusement sur le papier les « lignes d'erre », tentatives de captation de ce qui constitue leur manière d' être au monde. Ces cartes, aussi splendides que fragiles, nous offrent une autre conception de l'espace et de ce qui l'anime.

Jeudi, 11 Septembre, 2014 - 11:35
Jeudi, 16 Octobre, 2014 - 10:18
Maison des arts
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